La stratégie de sélection et de gestion des actifs est directement liée à la notion de note ESG minimale et les stratégies de fixation de la note seuil sont variées (et plus ou moins vertueuses). Est-il possible de préciser plus encore les critères retenus pour fixer la note ESG minimale ?
Notamment dans la mesure où elle permet de déclencher la fourniture d’un plan d’amélioration.

Le référentiel précise [II B) 3.1 et Annexe 6] : « Le fonds candidat dont plus de 80% des actifs (en valeur de la poche d’actifs immobiliers) disposent d’une évaluation ESG supérieure à l’évaluation ESG minimale démontre que la méthodologie d’évaluation ESG utilisée repose sur le recours à des critères quantitatifs dès la phase d’acquisition, à minima pour les 4 indicateurs de reporting obligatoires, et justifie le choix de l’évaluation ESG minimale retenue pour chaque critère en s’appuyant sur des informations tangibles (référentiel sectoriel, étude de place, benchmark interne, etc.). Pour chaque actif dont l’évaluation ESG est supérieure à l’évaluation ESG minimale, le fonds candidat démontre que la valeur des indicateurs énergie et émissions de GES de chaque actif est inférieure à la valeur moyenne d’un benchmark de place de référence récent (e.g. baromètre de la performance énergétique et environnementale des bâtiments tertiaires de l’OID ou équivalent) pour la classe d’actifs et le marché concernés. En l’absence de données disponibles dans la base de l’OID ou équivalent, le fonds candidat a la possibilité de procéder par analogie pays ou typologie d’actifs ou de proposer d’autres systèmes justifiés. »